Le garagistes - un entrepreneur qui a de l'avenir

Toile de fond et recommandations d'action pour un développement entrepreneurial réussi

Être entrepreneur est aujourd’hui encore un privilège qui procure du plaisir et permet de concevoir activement son environnement professionnel et celui de ses collaborateurs. Même si la liberté conceptuelle est davantage restreinte par des conditions cadres politiques et économiques qu’avant, la marge de manœuvre est suffisante pour réussir par son intelligence et son dur labeur. En sa qualité d’association sectorielle, l’UPSA agit beaucoup avec ses partenaires de la branche – mais elle ne peut pas tout faire toute seule. Nous ne sommes forts qu’ensemble.
 
 

L’ouverture

Urs Wernli: Le président central de l’UPSA, Urs Wernli, a ouvert la « Journée des garagistes suisses » à Berne en lançant un appel à s’engager sur les questions de politique des transports. Les 650 participants de toute la Suisse peuvent se réjouir à la perspective d’un colloque passionnant, avec de prestigieux intervenants.

« En politique comme en affaires, personne ne fera les choses à votre place. » Dans son allocution de bienvenue, Urs Wernli a évoqué la votation sur la création d’un fonds pour les routes nationales et le trafic d’agglomération (FORTA), sur lequel le peuple et les cantons se prononceront le 12 février. « Dans trois bonnes semaines, l’enjeu sera le futur développement de nos voies de circulation. Ces voies qu’empruntent les produits que vous vendez et réparez. Je vous en prie instamment : mobilisons nos forces !» L’UPSA s’engage énergiquement en faveur de ce projet pertinent et durable durant la campagne de votation.

La « Journée des garagistes suisses » 2017 a pour thème « Le garagiste – un entrepreneur qui a de l’avenir ». Le secteur automobile doit relever de multiples défis. « Nous sommes confrontés à l’effondrement des prix, à la lourdeur bureaucratique, au tourisme d’achat », a déclaré Urs Wernli. « Et pourtant, la palette des futures possibilités d’affaires n’a sans doute jamais été aussi étendue qu’aujourd’hui. Parce qu’une chose est sûre : la mobilité de demain et d’après-demain jouera un rôle encore plus important dans l’économie et la société. »

Mais n’anticipons pas, restons dans le présent, la « Journée des garagistes suisses » d’aujourd’hui réunit de formidables intervenantes et intervenants pour le plaisir des participants au colloque : le président du Conseil national Jürg Stahl, les membres du Conseil national Doris Fiala, Ulrich Giezendanner et Hans-Ulrich Bigler, ainsi que l’ancien Conseiller fédéral Christoph Blocher. Sans oublier Jean-Marc Hensch, président de Commerce Suisse.

L’après-midi, Thomas Schiller, consultant en entreprise, évoque la lutte pour la maîtrise des données. L’hôtelier Ernst Wyrsch explique qu’au bout du compte, le facteur qui détermine le succès ou l’échec est la passion. Enfin, le Professeur Willi Diez propose un exposé sur les futures technologies de propulsion.

Nous vous tenons informés tout au long de la journée.


Politique

Jürg Stahl: Guardando a Palazzo federale, il presidente del Consiglio nazionale ha fatto notare ai garagisti che oggi sarebbe una buona giornata per prendere il potere: «Palazzo federale è piuttosto deserto.» Il politico dell'UDC ha citato da una lettera dei fratelli Peugeot del XIX secolo come prevedevano i cambiamenti. Requisiti simili varrebbero anche oggi, afferma Stahl: «Auto significa passione ed emozioni, e questo lo offrite voi in veste di garagisti.» In gioventù, quanto abitava sul lago di Neuchâtel, aveva un surf sul tetto dell'auto. «Non sapevo praticare il surf, ma faceva indubbiamente una bella figura.»
 
Stahl, da novembre anche presidente di Swiss Olympic, ha paragonato i garagisti agli sportivi d'élite: «Devono essere pronti a competere.» Dario Cologna, ambasciatore di CheckEnergeticaAuto, non sarebbe riuscito a diventare campione olimpico senza un team ben funzionante. Ma Stahl ha sottolineato soprattutto che un vincitore olimpico non nasce campione:  «Devono lavorare duramente per il successo, proprio come voi!» Il politico di Winterthur ha ringraziato i garagisti anche per le loro prestazioni: «Vi occupate della formazione, assicurate posti di lavoro e regalate emozioni.»


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Doris Fiala et Hans-Ulrich Bigler : Celui qui ne fait pas de politique subit celle que font les autres. Comment les garagistes peuvent-ils s’engager durablement en politique ? Les conseillers nationaux PLR Doris Fiala et Hans-Ulrich Bigler ont approfondi cette question lors d’un petit débat avec le présentateur Patrick Rohr. Fiala a souligné la valeur du lobbying en tant que forme de défense des intérêts : « Cela signifie s’engager dans les associations ou la politique locales. Cela n’a rien de répréhensible ! » De la même manière, Bigler a indiqué que chacun pouvait se mobiliser avec succès pour la réforme de l’imposition des entreprises III : « L’entrepreneur du village, qui s’engage pour rester compétitif. Il est crédible, parce qu’il remplit peut-être aussi d’autres missions bénévoles dans le village. »
 
Dans son bref discours introductif, Fiala a souligné l’importance de la coopération : « Il ne devrait pas y avoir autant de confrontation : nous ne pouvons pas uniquement encourager les transports publics et diaboliser la voiture. Il faut agir ensemble. » La conseillère nationale et entrepreneuse a en outre évoqué la charge administrative croissante en matière d’élimination des déchets contaminés, les amendes CO2 en hausse ou la numérisation. « Les défis ne sont pas anodins. » Sans alliés, il n’est pas possible de les relever, selon elle. C’est aussi pour cela qu’elle a choisi son garagiste avec soin : « Je n’irais jamais simplement acheter ma voiture chez n’importe qui, je m’adresse à un collègue bourgeois. »

L’esprit d'entreprise

Jean-Marc Probst : Pourquoi devenir entrepreneur ? C’est la question que Jean-Marc Probst, président du conseil d’administration de Probst Maveg SA et président de Commerce Suisse, a posée à la ronde aux quelque 650 participantes et participants. La réponse qu’il a donnée à la fin de son exposé était simple : « C’est un plaisir. » Auparavant, Probst avait rappelé quelques points importants dont les entrepreneurs à succès doivent tenir compte. La communication joue un rôle essentiel : « Quand un vol a deux heures de retard, l’explication permet de comprendre pourquoi et de se montrer compréhensif. C’est également vrai dans les rapports avec les collaborateurs et les clients. Répondre et responsabilité ont une étymologie commune. »
 
En tant qu’entrepreneur, il faut aussi accepter de prendre certains risques. Probst a évoqué l’agriculteur, qui doit produire quelles que soient les conditions météo, même s’il a ajouté : « Grâce aux subventions, le paysan n’est finalement pas si dépendant du temps. » La numérisation est, selon lui, très importante. « Alors que Facebook n’existait pas il y a dix ans, plus de 500 messages par seconde sont aujourd’hui envoyés via WhatsApp à travers le monde. En France, 24 % des achats de vin sont effectués en ligne. » Et pour le secteur automobile aussi, Probst a une vision d’avenir : « La voiture interactive connaît le bulletin météo et contacte le garage en conséquence pour prendre rendez-vous afin de changer les pneus. Le mandat reste au garage. »


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Christoph Blocher et Ulrich Giezendanner : Deux entrepreneurs, deux piliers de la politique, deux hommes qui ont transmis leur entreprise à la génération suivante. « Vendez » a enjoint l’ancien conseiller fédéral Christoph Blocher aux garagistes suisses, les mettant en garde contre le fait de presser leurs enfants de reprendre l’entreprise : « Mieux vaut se séparer de la société que de la confier à des descendants inaptes. »
 
Quand, en décembre 2003, Christoph Blocher a été élu au Conseil fédéral, il a dû se séparer d’EMS Holding en trois semaines. Sa fille et héritière désignée, Magdalena Martullo, était alors enceinte de sept mois. « Elle m’a dit : ‹ Je ne peux pas reprendre l’entreprise, mon troisième enfant arrive dans deux mois. › Je lui ai répondu que le bébé n’en aurait cure », a raconté Blocher, déclenchant les rires des 650 participants à la Journée des garagistes suisses. Mais il avait un plan : « Je me disais que j’allais observer la situation pendant deux ans. Et que si ça n’allait pas, je reprendrais les choses en mains. » Il explique que l’entreprise et les 3000 familles à qui elle procure des revenus sont trop importantes pour les laisser tomber. Magdalena Martullo s’est avérée une digne héritière. Blocher : « C’est l’avantage d’une entreprise. Son succès est quantifiable. »
 
Ulrich Giezendanner a lui aussi confié son entreprise de transport à ses fils Stefan et Benjamin, mais la succession a été moins rapide et surtout moins harmonieuse que dans la famille Blocher-Martullo. Le problème venait de Giezendanner lui-même : « À 60 ans, je voulais encore travailler à mi-temps », explique le conseiller national UDC du canton d’Argovie : « C’était complètement idiot. On ne peut pas travailler à 50% dans l’entreprise qu’on a créée. » Il explique en outre avoir élevé deux mâles alpha : « Nous étions donc trois personnes à vouloir diriger ». Le conflit était inévitable. Il a fallu une médiatrice pour trancher le nœud gordien dans la maison Giezendanner : le père a confié la direction de l’entreprise à ses fils et a également renoncé à la présidence du conseil d’administration. Malgré leurs parcours différents, Christoph Blocher et Ulrich Giezendanner étaient d’accord sur un point : « La responsabilité est indivisible. »

Informations sur le compte et données relatives au véhicule

Thomas Schiller : Qu’advient-il des données collectées en permanence ? À qui appartiennent-elles et sont-elles utilisées de manière judicieuse ? Thomas Schiller, directeur d’Automotive Deloitte Allemagne, a présenté quelques hypothèses pour l’avenir. « La conduite automatisée arrive », a-t-il expliqué. « Très bientôt en ce qui concerne la circulation à 120 km/h sur autoroute. Il faudra par contre nettement plus de temps avant que la conduite entièrement automatisée soit disponible, et surtout, son intérêt sera variable. L’ouvrier agricole ukrainien en aura moins l’usage que le citadin d’Europe centrale. » Schiller s’est montré assez réservé quant à l’autopartage : « Si l’offre était plus économique que les transports publics, les capacités des routes seraient rapidement épuisées. » Il estime par contre que l’électromobilité a beaucoup d’avenir, et s’attend à ce que les ventes de flottes se multiplient, notamment dans les villes.
 
Le thème principal était les données. Schiller a expliqué le principe en prenant pour exemple un smartphone. Par le biais de celui-ci, d’innombrables données de mobilité sont collectées et centralisées. Il convient de les exploiter, les villes pourraient par exemple en tirer des heat maps. Cela permettrait d’élaborer des concepts de mobilité correspondants. Ce serait d’ailleurs pour cette raison que Google, en tant qu’éditeur de logiciels, s’intéresserait au secteur automobile. Schiller ajoute que les constructeurs automobiles aussi recueillent de nombreuses données. « Il est logique qu’ils les centralisent. Mais ils doivent aussi les partager avec les concessionnaires et les garagistes. Cela crée une valeur ajoutée. » Malgré la numérisation croissante, il ne faut selon lui pas surévaluer les applications et outils numériques. « Rien ne remplace la relation avec le client. »

Exposé de M. Thomas Schiller (PDF)

Service

Aschi Wyrsch: « Comment puis-je dépenser un maximum d’énergie pour obtenir un minimum de résultats ? » Pour commencer son exposé, Ernst « Aschi » Wyrsch a joué la carte de la provocation et de l’humour. Il a souligné l’importance de poser les bonnes questions et surtout « d’écouter, non pas pour répondre, mais pour comprendre. » Sur la base d’exemples concrets, l’hôtelier couronné de succès du WEF a présenté la direction fondée sur les valeurs. Pour lui, l’enthousiasme est la clé de la relation avec le client. Cela signifie s’intéresser à l’autre et ne pas lui débiter un laïus de questions apprises par cœur.
Autre volet passionnant de sa conférence : la manière de diriger la génération Y (née après 1980). Il attache également une grande importance à la philosophie du « oui ». « Il faut répondre oui aux questions des clients, pas simplement les balayer d’un revers de main », explique-t-il. Il en résulte une expérience positive et une bonne relation avec le client.
 
Wyrsch a par ailleurs insisté sur la nécessité de s’accorder du temps en racontant une parabole simple : « Un paysan de montagne travaillait avec une faux émoussée et progressait donc lentement. Lorsqu’un paysan de ses amis en visite lui demanda s’il ne voulait pas aiguiser sa faux, il lui répondit qu’il n’en avait pas le temps. »
 
Aschi Wyrsch a également évoqué la numérisation et l’impuissance qui en résulte. « Est-ce qu’il faut en plus que je fabrique une application ? » a-t-il rhétoriquement demandé à son auditoire. « Nous avons entendu de très bons exposés, mais personne n’a pu nous dire exactement où le voyage nous mènera. La plupart des experts connaissent sans doute l’étape suivante, mais pas celle d’après. »

Les systèmes d'entraînement de l'avenir

Willi Diez: La propulsion du futur est électrique, avec un moteur alimenté par des batteries. C’est ce qu’a expliqué le Prof. Willi Diez, directeur de l’institut d’économie automobile de l’université de Geislingen, aux quelque 650 participantes et participants. Ce conducteur passionné de Porsche 911 a immédiatement justifié cette affirmation : « En tant que carburant, le pétrole comporte un certain risque. Sans compter qu’avec un rendement de plus de 90 %, un moteur électrique est beaucoup plus performant qu’un moteur à combustion ordinaire. » Pour l’instant, la demande n’est pas très forte, parce que le coût à l’achat est élevé et que l’autonomie est faible, mais cela va rapidement changer : « Les prix des batteries chutent et l’autonomie s’améliore. »
 
Diez estime que l’électrification à venir a aussi des avantages. « Les jeunes s’intéressent à nouveau à l’automobile, mais peut-être moins qu’autrefois, lorsque l’essentiel était la cylindrée et les chevaux développés. » Il indique qu’avec les voitures électriques, les besoins en maintenance augmentent légèrement, en raison des systèmes à haut voltage. En revanche, les besoins en réparations et en pièces diminuent significativement, par rapport à ceux des moteurs à combustion. « Une partie des travaux à l’atelier n’est plus nécessaire. Il faut redéfinir le système des marges », explique Diez. L’expert du secteur automobile estime qu’en ce qui concerne les voitures électriques, c’est à partir de 2020 que les choses « deviendront sérieuses. Nous avons encore un peu de temps pour nous préparer. Mais nous vivrons la révolution du monde automobile. »

Exposé de M. Willi Diez (PDF)

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Willi Diez, Leiv Andresen et Luca Placi: À la fin de son exposé, le Prof. Willi Diez a tenu à ajouter : « En tant que garagiste, si vous vendez une voiture électrique, ne vantez pas ses mérites écologiques. Vendez-la comme un bolide, une voiture de course ! Il y a belle lurette que les écolos ne conduisent plus de voitures. » Le fan de 911, qui se déplace actuellement en Tesla X, a ensuite raconté comment il aime se mesurer aux Porsche de ce monde aux feux tricolores…
 
Les produits des équipes Formula Student de l’EPF de Zurich et de la BFH de Bienne sont également des voitures de course électriques. Leiv Andresen, CEO de l’équipe de l’EPF, a évoqué avec passion le plaisir que procure la construction d’un tel véhicule : « Les moteurs électriques sont très simples. C’est ce qui les rend si élégants. » Avec une accélération de 0 à 100 km/h en 1,513 seconde, l’Akademische Motorsportverein Zürich (AMZ) a établi un nouveau record mondial dans la catégorie des véhicules électriques. Son collègue biennois Luca Placi a évoqué une expérience précieuse pour les étudiants : « Nous faisons cela pour donner à de jeunes ingénieurs une expérience dans la construction automobile, leur apprendre à créer un produit fini en partant de rien. »
 
L’électromobilité n’en est qu’à ses balbutiements, a ajouté Willi Diez, comparant l’état de développement actuel à celui du moteur à combustion en 1900 : « Il y aura d’énormes progrès. »

«Dîner des Garagistes»

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Soirée : Les garages CEA de l’année ont été récompensés dans le cadre du « Dîner des garagistes ». Encore troisième l’an dernier, le Garage Moderne SA de Bulle a reçu le trophée de la victoire des mains d’Urs Wernli, président central de l’UPSA, et de Markus Peter, Chef Technique automobile & Environnement. « Nous réalisons systématiquement le CEA sur toutes les voitures. L’an dernier, cela a représenté 1500 contrôles et près de 300 heures de travail supplémentaire », a expliqué Dragan Petrovic, responsable service à la clientèle. Les sociétés Turbotec GmbH et Garage Walker GmbH, toutes deux sises à Altdorf, ont également été distinguées. Jens Wegmann a assuré une conclusion étonnante avec son exposé humoristique sur la méthode HDUS (l’essentiel, c’est le chiffre d’affaires), qui garantit des clients satisfaits.
 
 

Prochaine assemblée : réservez la date !

Une assemblée s’achève, une autre se prépare. Réservez dès aujourd’hui la date de la prochaine « Journée des garagistes suisses » qui aura lieu :
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Le lieu et le programme vous seront bien sûr communiqués dès que possible sur le site Internet de l’UPSA, dans la revue AUTOINSIDE ou via la newsletter.

 
Remarque pour les représentants des médias:
vous trouverez le communiqué aux médias concernant la «Journée des garagistes suisses» 2016 ainsi que tous les communiqués de l’UPSA sous la rubrique Médias.
 

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Réponses aux congrès

« Il est intéressant de découvrir ce qui préoccupe la branche des garagistes en ce moment. Je me réjouis en outre d’échanger avec les concessionnaires de marques. »

Christoph Wolnik, porte-parole d’auto-suisse


 

« Je me réjouis à l’idée d’entendre les conférenciers captivants et du réseautage avec les partenaires commerciaux et collègues. J’espère en outre repartir avec des idées utiles pour le quotidien. »

Wolfgang Schinagl, directeur d’auto-i-dat sa


« Le thème clé du colloque ‹ Le garagiste – un entrepreneur qui a de l’avenir › m’intéresse vivement. Je pense que les changements dans notre secteur d’activité vont être plus radicaux que nous ne l’imaginons.»

Hubert Waeber, Automobiles Belle-Croix SA, Villars-sur-Glâne VD


« Je suis ici pour échanger avec des gens que je n’ai pas l’occasion de voir tous les jours. Et bien sûr à cause du formidable programme. »

Reto Neff, Helvetia Assurances

« Je suis ici pour prendre le pouls des garagistes et découvrir où nous allons.»

Remo Capeder, Carauktion


« Je trouve passionnant d’apprendre comment la branche va évoluer à l’avenir. L’électromobilité et la conduite autonome sont des sujets qui me passionnent. Sans compter que les intervenants d’aujourd’hui sont excellents. »

Karl Bieri, Auto Zürich Car Show


« Tout l’éventail des exposés et des thèmes m’a convaincu. La manifestation était globalement très réussie. Félicitations, cela rend confiant pour l’avenir ! »

Dölf Lendenmann, Binelli & Ehrsam AG


« C’était une manifestation motivante, j’ai apprécié tout le programme. Ce que je retiens surtout, c’est l’exposé d’Aschi Wyrsch. Il est agréable d’entendre que l’on peut enthousiasmer ses clients par son enthousiasme. »

Daniel Steinauer, ESA


« J’ai vécu une journée passionnante. Et j’ai eu la confirmation de ce que je pensais. L’électromobilité viendra tôt ou tard, comme l’a expliqué le professeur Diez dans son exposé solidement fondé sur le plan technique. »

Toni von Dach, Figas


« Les exposés étaient tous très intéressants. Les sujets de l’électromobilité et de la succession, avec Christoph Blocher et Ulrich Giezendanner, nous ont en particulier beaucoup plu. »

Daniel Felix, CarXpert Garage Felix


« La journée a été très intéressante. Je repars avec de nombreuses idées sur la direction des collaborateurs dans mon propre établissement. »

Anna Müller-Peter, Garage Müller AG, Erlenbach i. S.


« Pour résumer la ‹ Journée des garagistes suisses › 2017, je dirais qu’il convient de garder un œil sur l’évolution rapide de l’électromobilité. Mais elle ne doit en aucun cas faire peur. Les petits établissements comme nous, en particulier, doivent faire preuve de souplesse, car des opportunités se présentent régulièrement. »

Edith Kunz-Balmer, Garage Balmer AG


« Le thème de la succession est celui qui m’a le plus intéressé. Parce que c’est précisément la situation dans laquelle nous nous trouvons. Mon père vient juste de nous transmettre l’entreprise, à mon frère et à moi. Nous avons constaté que ce n’était pas simple. C’est pourquoi la table ronde avec Messieurs Blocher et Giezendanner m’a fourni de nombreuses pistes. »

Roberto Bonfanti, président de l’UPSA section TI


« Tout le colloque était globalement très réussi. J’ai trouvé la disposition des sièges avec les tables agréable et les exposés étaient formidables. Les jeunes CEO des deux équipes suisses Formula Student m’ont en particulier énormément impressionné. »

Fritz Bosshard, Kalchbühl-Garage AG 


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Impressions du « Journée des garagistes suisses » 2017
de g. Jean-Marc Probst, Urs Wernli (Président central de l'UPSA), Christoph Blocher, Doris Fiala, Hans-Ulrich Bigler, Ulrich Giezendanner, Patrick Rohr
de g. Jean-Marc Probst, Urs Wernli (Président central de l'UPSA), Christoph Blocher, Doris Fiala, Hans-Ulrich Bigler, Ulrich Giezendanner
de d. Roland Huguelet (Evo Bus AG), Nicolas Leuba (Président UPSA section VD), Andreas Caillet et Erwin Kaufmann (Evo Bus AG)
Olivier Rhis (Scout24)
Urs Wernli, Christoph Blocher et garagistes
de g. Madeleine et René Degen (Comité central UPSA), Markus Aegerter (UPSA) et Daniel Riedo
de g. Rudolf Leibundgut, Hubert Waeber, Giorgio Feitknecht, Markus Hutter et Charles Blättler (ESA)
de g. Franz Galliker (UPSA) et Reinhard Gasser (Gasser AG, Gächlingen TG)
de g. Andreas et Peter Baschnagel (Baschnagel AG) et Manfred Wellauer (Vice-président UPSA)
de g. Joe Hebler (Autohebler AG), Priska et Bruno Seeholzer (Garage B. Seeholzer AG)
de g. Andreas Fatzer et Benno Brunner (Amag Retail)
de g. Daniel Wetzler (Auto-Outlet AG) et Markus Hesse (Comité central UPSA)
de g. André Kunz (Président UPSA section SZ), Beat Grepper (Président UPSA section ZG) et Stephan Huwiler (Secrétaire UPSA section ZG)
André Müller (Garage Müller AG, Herznach) et Urs Wernli (Président central de l'UPSA)
de g. Bernadette Langenick (auto-i-dat AG), Eric Besch (Président UPSA section BE Bienne Seeland) et Wolfgang Schinagl (auto-i-dat AG)
de g. Nicolas Kunz, Heiko Haasler et Eric Sagarra (Eurotax)
de g. Robert Brand (Turbotec GmbH), Ivo Musch (Président UPSA section UR) et Karl Baumann (UPSA)
de g. Franz Galliker, Irene Schüpbach, Gaetano Gentile, René Schoch, Kurt Pfeuti et Heinz Kaufmann (UPSA)
de g. Matthias Ehinger (MultiPart Grantie AG), Christoph Kissling (Rhiag), Urs Wernli (Président central de l'UPSA) et Roger Hunziker (Rhiag)
de g. Jean-Claude Bopp (Bopp Solutions AG), Erich Schlup (Médias UPSA) et Matthias Odermatt (Quality1)
de g. Iginio Cangero (Pirelli), Andreas Burgener (auto-schweiz), Dieter Jermann (Pirelli) et Christoph Wolnik (auto-schweiz)
de g. Urs Dubach (Centre de formation UPSA Mülenen), Barbara Germann-Allenbach (Secrétaire UPSA section BEO), Marco Frozza (Auto Tempel AG), Kurt Aeschlimann (Comité central UPSA) et Beat Künzi (Centre de formation UPSA Berne)
Urs Wernli et Jürg Röthlisberger (Ofrou)
de d. Claudio Bianda (Garage Cristallina SA), Gaetano Collantuono (Garage Royal Pambio Noranco SA), Milton Binaghi (Garage Binaghi SA), Roberto Bonfanti (Président UPSA section TI) et Ezio Forzatti (Auto Piû S. a. g. l.)
Hubert Waeber (Automobiles Belle-Croix AG) et Wolfgang Schinagl (auto-i-dat AG)
de d. Philippe Pittolaz (Garage Autopac SA), René Bourgeois (Garage de Ballaigues SA), Philippe Monnard (Centre de Formation de l'UPSA Vaud) et Jean-Daniel Gaudin
de g. Roland Ayer (Président d’honneur UPSA) et Urs Wernli (Président central de l’UPSA)
de g. Thomas Jenni (UPSA section SO) et Markus Aegerter (UPSA)
de gl. Diego De Pedrini (UPSA section ZH), Christian Müller (Président UPSA section ZH), Werner Ronner (Wirage AG), Daniel Bättig (Daniel Bättig AG), Andreas Billeter (Amag), Hans A. Mäschli (Mäschli Kreuzgarage AG), Ronald F. Betschart et Hans J. Mäschli (Mäschli Kreuzgarage AG)
Philippe Durret (Durret Automobiles SA) et Christoph Blocher