«Conseiller/ère de service à la clientèle» devient «conseiller/ère de service»

Réunion du BBK

«Conseiller/ère de service à la clientèle» devient «conseiller/ère de service»

28 janvier 2020 agvs-upsa.ch – Lors de la séance annuelle de la commission de la formation professionnelle (CFP), les délégués ont approuvé le nouveau profil de qualification ainsi que la nouvelle dénomination de la profession du règlement d’examen «Conseiller/ère de service automobile avec brevet fédéral». Par ailleurs, l’orientation stratégique de la Formation professionnelle 2030 de l’UPSA a également été abordée.


Les participants de la réunion du BBK à la fin du mois de janvier.​

cst. C’est officiel: le/la futur(e) conseiller/ère de service à la clientèle dans la branche automobile avec brevet fédéral se nomme dorénavant «conseiller/ère de service automobile». Lors de la séance de la commission de la formation professionnelle, les délégués de toutes les sections ont approuvé la modification de la dénomination. Dans le même temps, le profil de qualification a également été accepté dans le cadre de la révision totale du règlement d’examen des formations professionnelles supérieures existant.

«L’objectif des travaux de révision est de créer pour les jeunes professionnels une formation stimulante et jouissant d’une grande popularité, que ce soit au sein même de la branche automobile ou auprès des fabricants et des importateurs», a déclaré Peter Linder, président de la commission assurance qualité des conseillers de service à la clientèle (CAQ-CSC). C’est pourquoi, des responsables du côté des fabricants et des importateurs ont également été intégrés dans l’équipe de projet. «Les retours sont positifs», a ajouté P. Linder. La nouvelle dénomination de «conseiller/ère de service automobile» permet de tenir compte de ce profil professionnel important qui fait office de plaque tournante entre les besoins des clients et les activités de garage dans le secteur de l’après-vente. «Ainsi, le titre rend justice à la fonction très diversifiée du conseiller de service à la clientèle dans la branche automobile.» Selon P. Linder, la révision du règlement d’examen et des directives relatives à la formation professionnelle supérieure devrait être adoptée d’ici fin 2020. «Nous avons encore du pain sur la planche. Nous sommes convaincus qu’avec la révision totale, nous travaillons à une chose excellente et attrayante pour les jeunes professionnels», a souligné le président de la CAQ-CSC.
 
 

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En ce qui concerne l’évolution générale de la formation professionnelle de l’UPSA, les années à venir se révèleront très intéressantes. «En raison de l’évolution technologique, l’acquisition de nouvelles compétences s’avère nécessaire», a déclaré Charles-Albert Hediger, président de la commission de la formation professionnelle. «Que ce soit au niveau de la diversité des motorisations ou de la numérisation: les nouveaux secteurs d’activités doivent être exploités et les nouvelles compétences intégrées dans les profils professionnels déjà existants.» Olivier Maeder, membre de la direction de l’UPSA et directeur de la CFP, a ajouté: «Nous devons anticiper et continuer de promouvoir la mise en réseau entre nous, avec les importateurs ainsi qu’avec les autres associations.» Il faut prendre en compte que la branche automobile dépend d’une main-d’œuvre dotée de compétences dans le domaine de conseil en mobilité. «L’UPSA a développé les premières bases dans le cadre de l’orientation stratégique de la Formation professionnelle 2030 afin de garantir aux apprentis et aux jeunes professionnels la meilleure formation», a souligné Charles-Albert Hediger.

Retrouvez le reportage détaillé dans AUTOINSIDE 3/2020.
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