Visite d’une personnalité
La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga remercie les garagistes
18 janvier 2022 agvs-upsa.ch – En tant que professionnel du conseil, le garagiste joue un rôle clé dans la réduction des émissions de CO2 de la mobilité de demain. La visite de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga montre que le gouvernement en est, lui aussi, bien conscient.
«L’avenir appartient à la mobilité électrique, c’est une bonne et importante nouvelle pour la protection du climat!», a déclaré la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. Photo: Upsa-médias.
Trois déclarations de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga ont attiré l’attention lors de la Journée des garagistes suisses. Premièrement, dans le cadre de la nouvelle loi sur le CO2, le Conseil fédéral entend encourager le développement des stations de recharge pour véhicules électriques, par exemple sur les lieux de travail et dans les habitations. «Il sera donc bientôt aussi courant et aussi simple de recharger sa voiture que de faire le plein aujourd’hui», a-t-elle expliqué.
Deuxièmement, le Conseil fédéral souhaite définir les conditions-cadres de la conduite automatisée lors de la révision partielle de la loi sur la circulation routière. La Suisse sera l’un des premiers pays au monde à le faire. La loi est actuellement en discussion au Parlement. Simonetta Sommaruga a rappelé que: «L’automatisation progresse. Elle peut renforcer la sécurité routière, améliorer la fluidité du trafic et réduire les émissions polluantes.» Et de préciser qu’en plus d’offrir de nouvelles possibilités économiques, la numérisation et l’automatisation ouvrent des perspectives attrayantes aux membres de l’UPSA. «Les garagistes se transforment de plus en plus en conseillers en mobilité et en prestataires de services de mobilité. Ils ont tout ce qu’il faut pour cela.»
Enfin, la conseillère fédérale a exprimé sa gratitude à la branche automobile dans son troisième message clé: «La transition vers une mobilité respectueuse du climat ne serait pas possible sans l’engagement quotidien de près de 40 000 hommes et femmes. Je veux parler des mécaniciens, des mécatroniciens, des conseillers en mobilité et des garagistes.» La politicienne, venue en voiture électrique, n’a pas non plus manqué de faire l’éloge de son garagiste personnel. «Et étant active de longue date dans la protection des consommateurs, je ne dis pas cela en l’air.» Son argument, que les garagistes pourraient même reprendre dans leurs entretiens de vente, venait lui aussi du cœur. Si elle apprécie tant la mobilité électrique, c’est parce que l’on circule sans bruit. «On ne retrouve un tel calme ailleurs que dans le compartiment silence des CFF. Cette sérénité m’aide grandement à me détendre après les séances du Conseil.»
Simonetta Sommaruga a rappelé aux garagistes qu’en s’occupant des voitures, des camionnettes, des camions et des motos, ils assument une grande responsabilité dans la protection de l’environnement et la sécurité routière. «Votre expertise et vos prestations sont importantes. La Confédération vous épaule dans ce cadre.» À titre d’exemple, elle a cité le CheckEnergieAuto, un projet conjoint de l’UPSA et de SuisseEnergie qui vise à réduire la consommation d’énergie. Et elle a dévoilé: «À l’avenir, la Confédération soutiendra également vos professionnels dans la formation initiale et continue. Les discussions sont en cours.»
Les garagistes ont parfaitement conscience de porter une responsabilité dans l’élaboration et la mise en œuvre du projet de loi sur le CO2. Dans son discours d’ouverture, le président central de l’UPSA, Thomas Hurter, a souligné l’importance économique et sociale du trafic individuel motorisé (TIM), qui représente actuellement 80 % des passagers-kilomètres en Suisse. «Les échanges entre la conseillère fédérale Sommaruga et l’UPSA ont progressé de manière constructive ces derniers mois», a-t-il dit. La raison et l’ouverture technologique sont de mise, et le TIM comme les transports publics sont nécessaires pour répondre aux besoins de mobilité croissants d’une population en augmentation. «Ce point de vue distingue nettement l’UPSA, en tant que ‹voix de la raison›, des adversaires perpétuels du TIM au discours dominé par l’idéologie.»
«L’avenir appartient à la mobilité électrique, c’est une bonne et importante nouvelle pour la protection du climat!», a déclaré la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga. Photo: Upsa-médias.
Trois déclarations de la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga ont attiré l’attention lors de la Journée des garagistes suisses. Premièrement, dans le cadre de la nouvelle loi sur le CO2, le Conseil fédéral entend encourager le développement des stations de recharge pour véhicules électriques, par exemple sur les lieux de travail et dans les habitations. «Il sera donc bientôt aussi courant et aussi simple de recharger sa voiture que de faire le plein aujourd’hui», a-t-elle expliqué.
Deuxièmement, le Conseil fédéral souhaite définir les conditions-cadres de la conduite automatisée lors de la révision partielle de la loi sur la circulation routière. La Suisse sera l’un des premiers pays au monde à le faire. La loi est actuellement en discussion au Parlement. Simonetta Sommaruga a rappelé que: «L’automatisation progresse. Elle peut renforcer la sécurité routière, améliorer la fluidité du trafic et réduire les émissions polluantes.» Et de préciser qu’en plus d’offrir de nouvelles possibilités économiques, la numérisation et l’automatisation ouvrent des perspectives attrayantes aux membres de l’UPSA. «Les garagistes se transforment de plus en plus en conseillers en mobilité et en prestataires de services de mobilité. Ils ont tout ce qu’il faut pour cela.»
Enfin, la conseillère fédérale a exprimé sa gratitude à la branche automobile dans son troisième message clé: «La transition vers une mobilité respectueuse du climat ne serait pas possible sans l’engagement quotidien de près de 40 000 hommes et femmes. Je veux parler des mécaniciens, des mécatroniciens, des conseillers en mobilité et des garagistes.» La politicienne, venue en voiture électrique, n’a pas non plus manqué de faire l’éloge de son garagiste personnel. «Et étant active de longue date dans la protection des consommateurs, je ne dis pas cela en l’air.» Son argument, que les garagistes pourraient même reprendre dans leurs entretiens de vente, venait lui aussi du cœur. Si elle apprécie tant la mobilité électrique, c’est parce que l’on circule sans bruit. «On ne retrouve un tel calme ailleurs que dans le compartiment silence des CFF. Cette sérénité m’aide grandement à me détendre après les séances du Conseil.»
Simonetta Sommaruga a rappelé aux garagistes qu’en s’occupant des voitures, des camionnettes, des camions et des motos, ils assument une grande responsabilité dans la protection de l’environnement et la sécurité routière. «Votre expertise et vos prestations sont importantes. La Confédération vous épaule dans ce cadre.» À titre d’exemple, elle a cité le CheckEnergieAuto, un projet conjoint de l’UPSA et de SuisseEnergie qui vise à réduire la consommation d’énergie. Et elle a dévoilé: «À l’avenir, la Confédération soutiendra également vos professionnels dans la formation initiale et continue. Les discussions sont en cours.»
Les garagistes ont parfaitement conscience de porter une responsabilité dans l’élaboration et la mise en œuvre du projet de loi sur le CO2. Dans son discours d’ouverture, le président central de l’UPSA, Thomas Hurter, a souligné l’importance économique et sociale du trafic individuel motorisé (TIM), qui représente actuellement 80 % des passagers-kilomètres en Suisse. «Les échanges entre la conseillère fédérale Sommaruga et l’UPSA ont progressé de manière constructive ces derniers mois», a-t-il dit. La raison et l’ouverture technologique sont de mise, et le TIM comme les transports publics sont nécessaires pour répondre aux besoins de mobilité croissants d’une population en augmentation. «Ce point de vue distingue nettement l’UPSA, en tant que ‹voix de la raison›, des adversaires perpétuels du TIM au discours dominé par l’idéologie.»
Lisez le compte rendu détaillé de la Journée des garagistes suisses 2020 dans AUTOINSIDE 02/2022.
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